Cocktail, Mouton et Grenouille ! [1948 à 1949]

Mélodie Cocktail [1948]

Production : Walt Disney Productions

Réalisation : Clyde Geronimi ; Wilfred Jackson ; Jack Kinney ; Hamilton Luske

Durée : 1h15

Mélodie Cocktail est un assemblage grandiose de sept courts métrages classiques, chacun rehaussé d’une musique merveilleuse et de personnages inoubliables. Donald le canard, l’un des héros de Disney les plus appréciés de tous les temps, exécute des pitreries sur des airs de jazz latin dans « C’est la faute de la samba ». La musique devient toute une aventure pour un bourdon affairé dans « Bumble Boogie ». Du malicieux jeune remorqueur de « Petit Toot » aux héros de légendes de « Johnny Appelseed » et « Pecos Bill », ce film délicieux charmera vos yeux et vos oreilles.


✶✶/5

La première histoire C’est un souvenir de décembre raconte l’histoire d’une romance hivernale parallèle entre deux humains et deux lapins. Les deux couples s’amusent d’abord sur un lac gelé mais la glace se brise. La chanson est entraînante et j’ai bien aimé l’histoire. Mention spéciale à la référence à Cendrillon qui est sortie peu de temps après. La seconde Bumble Boogie parle d’une mouche qui vit un cauchemar en musique. Il n’est pas terrible mais pareil j’ai bien aimé la musique. La troisième Johnny Pépin-de-Pomme nous présente Dennis Day qui raconte la vie du célèbre pionnier John Chapman, qui parcourut l’Ouest des États-Unis en plantant des pommiers. Je crois que c’est l’histoire que j’ai préféré. Johnny est appelé le petit homme, ce qui m’a fait pensé au Livre de la Jungle.  La quatrième histoire Petit Toot chante l’histoire d’un petit bateau, qui, voulant ressembler à son père, rencontre bien des ennuis. Je n’ai pas trop accroché à celle-ci. La cinquième À la gloire d’un arbre est un poème ayant pour thème les arbres. Pareil, j’ai pas trop adhéré. La sixième C’est la faute de la samba raconte l’apprentissage de la samba par Donald et José Carioca. Leur professeur est l’Aracuan, l’oiseau fou des Trois Caballeros. C’est juste un petit rappel au Disney précédent en fait. Et la septième Pecos Bill raconte l’histoire de Bill qui est élevé avec les animaux (ça ne vous rappelle rien ?) et qui tomba fou amoureux de Sophie Sue. On peut dire que Walt était fan des dessin animés tout en musique mais moi ce n’est pas trop mon cas. Je suis assez mitigée. J’ai bien aimé la première histoire, la troisième et la septième mais demain je les aurai surement oublié. Néanmoins j’aime bien découvrir des Disney que je n’ai jamais eu l’occasion de découvrir.

Danny le petit mouton noir [1948]

Production : Walt Disney Productions

Réalisation : Harold Schuster ; Hamilton Luske

Durée : 1h19

Danny, le petit mouton noir raconte l’histoire d’un jeune garçon nommé Jeremiah qui au début du XXe siècle, décide d’élever un mouton noir que sa grand-mère ne souhaitait pas garder. Il prénomme l’animal Danny en l’honneur du célèbre étalon noir Dan Patch, l’un de ses héros. Malgré les nombreuses facéties de Danny, Jeremiah souhaite le présenter à un concours agricole. Jeremiah regroupe des souvenirs et rêve devant un album dont les personnages s’animent et lui prodiguent des conseils.


✶✶✶/5

Le déroulement de l’histoire est le même que pour Mélodie du Sud et j’ai de nouveau beaucoup aimé. Ce Disney est peu connu mais il mérite d’être vu. C’est terriblement touchant, mignon et émouvant. La chanson du début est très jolie et j’ai adoré celle que chante l’oncle Hiram sur tout et n’importe quoi. D’ailleurs j’ai eu un gros coup de cœur pour ce personnage qui fait tout son possible pour aider Jeremiah, son neveu. On ne peut que s’attacher aussi au vilain petit mouton noir Danny. Comme d’habitude il y a une morale, ici c’est on fait ce que l’on peut avec ce que l’on a qui est répétée plusieurs fois dans le film. 

la mare aux grenouilles

La mare aux grenouilles [1949]

Production : Walt Disney Productions

Réalisation : James Algar ; Jack Kinney

Durée : 30min

La passion débordante pour les automobiles de Crapaud Baron Têtard inquiète grandement ses amis Taupe, Rat et Angus McBlaireau, surtout quand Crapaud échange son manoir ancestral à des fouines contre un bolide volé… Monsieur Crapaud se met rapidement à flâner sans but sur les routes, jusqu’au jour où sa drôle d’escapade le mène derrière les barreaux. Ses amis s’acharnent à prouver son innocence en allant chercher des preuves dans son ancien manoir occupé par des bandits.


Je n’ai trouvé ce Disney qu’en anglais et non sous-titré donc c’était pas l’idéal mais bon l’histoire est pas trop compliquée à comprendre (heureusement). Je l’ai trouvé pas mal mais sans plus.

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