Picsou, Jack, Dingo et Max ! [1990 à 2000]

La bande à Picsou : Le trésor de la lampe perdue [1990]

Production : Walt Disney Pictures ; DisneyToon Studios

Réalisation : Gaëtan Brizzi ; Paul Brizzi ; Bob Hathcock ; Clive Pallant ; Mathias Marcos ; Rodric ; Vincent Woodcock

Durée : 1h14

Picsou, ses 3 neveux et Zaza s’embarquent dans une nouvelle aventure qui les mène jusqu’en Egypte sur la trace d’un fabuleux trésor. Sur place, la joyeuse bande ne trouve qu’une ancienne carte qui leur permet de trouver une pyramide perdue. Mais le sorcier Merlock, un ennemi redoutable, épaulé par son fidèle second Dijon, ne tarde pas à leur mettre des bâtons dans les roues, afin de prendre possession d’une lampe magique qui contient un génie…


✶✶,5/5

Je continue mon visionnage de l’entière collection des films Disney et j’ai vraiment été surprise de découvrir celui-ci dans la liste. Je ne suis vraiment pas familière avec Picsou et compagnie. Ce dernier a mis 40 ans pour récupérer le trésor que le méchant Merlock lui pique sous son nez. En fait, celui-ci cherche la lampe contenant un génie. Ça vous rappelle quelque chose ? Les personnages changent mais l’histoire est sensiblement la même que celle d’Aladdin qui arrivera deux années plus tard. Riri, Fifi et Loulou sont vraiment très mignons. L’intrigue est plaisante à suivre. Sans oublier Zaza, Flagada Jones et mamie Baba qui sont également de la partie.

L’Étrange Noël de Monsieur Jack [1993]

Production : Touchstone Pictures ; Skellington Inc.

Réalisation : Henry Selick

Durée : 1h16

Jack Skellington, un épouvantail squelettique surnommé « le Roi des citrouilles », vit dans la ville d’Halloween. En tant que maître de l’épouvante, Jack occupe ses journées à préparer la prochaine fête d’Halloween. Mais le terrible épouvantail, lassé de cette vie répétitive et monotone, décide de partir. C’est alors qu’il découvre la ville de Noël. Après cette aventure, il revient chez lui, avec une idée originale en tête : et si cette année, c’étaient les habitants de la ville d’Halloween qui allaient fêter Noël ?


✶✶✶/5

Je n’ai entendu que du bien de L’étrange Noël de Monsieur Jack mais je ne l’avais jamais vu avant aujourd’hui. Je n’en avais jamais vraiment ressenti l’envie et j’avoue que je ne savais pas trop à quoi m’attendre. J’ai bien aimé mais sans plus même s’il faut reconnaître que ce Disney est unique, spécial et original. On reconnaît sans problème la pâte de Tim Burton. L’utilisation de la technique du stop-motion peut surprendre mais on s’y habitue. L’épouvantail squelettique Jack Skellington a le pouvoir et la gloire mais il est mélancolique, il a envie de changements. N’ayant connu que la fête d’halloween, il découvre Noël et il se met en tête de comprendre cette tradition afin de la mettre en place. Il est toujours accompagné de son fidèle acolyte le chien fantôme Zéro. Quant à la poupée de chiffons Sally, elle a été créé par le docteur, complètement zinzin, Finklestein et elle est amoureuse de Jack. Sans oublier le Maire, l’affreux Oogie Boogie et les petites terreurs d’Am, Stram, Gram,.. Avec la participation du Père Noël, à ses dépends. Les chansons sont entraînantes et certaines sont cultes. Le Disney est touchant et un poil sombre, sans être flippant. Il y a beaucoup de personnages intéressants mais le problème c’est qu’il y en a tellement qu’ils sont trop peu exploités à mon sens. J’ai bien aimé mon visionnage mais il ne fait pas partie de mes incontournables.

Dingo et Max [1995]

Production : Walt Disney Pictures

Réalisation : Kevin Lima

Durée : 1h18

Max, le fils de Dingo, est un adolescent rebelle, amoureux de la belle Roxanne et prêt à tout pour la séduire, même s’il lui faut renier son père. Avec l’aide des amis, il dérange la remise des prix de fin d’année, en imitant le chanteur favori de Roxanne pour impressionner sa bien-aimée. Il lui annonce même qu’il va aller voir le concert de Powerline, la plus grande star pop adulée par tout l’école secondaire, sur une scène de Los Angeles. Malheureusement pour lui, Dingo a décidé qu’il était temps de resserrer les liens et de l’emmener en camping pour pêcher. Max va alors tout faire pour emmener son père à Los Angeles…


✶✶/5

Alors là pour le coup, je connais encore moins cet univers que celui de Picsou. Le thème général c’est la relation père/fils durant l’adolescence qui a été bien traité je trouve. Max est le fils de Dingo. Il est amoureux de Roxanne et il est meilleur ami avec PJ qui est le fils de Pat Hibulaire. Durant leurs aventures, Dingo et Max rencontrent le Yéti en personne. Ce Disney est enfantin mais il se laisse regarder.

Dingo et Max 2 : Les sportifs de l’extrême [2000]

Production : Walt Disney Pictures

Réalisation : Ian Harrowell ; Douglas McCarthy

Durée : 1h19

Max est admis à l’université. Il se fait une joie non seulement de s’éloigner de son père Dingo, mais aussi d’avoir à défier les autres étudiants dans une compétition de sports extrêmes où le skate et les rollers sont les rois absolus. Dès leur arrivée sur le campus, Max, et ses amis PJ et Bobby se heurtent à la bande des Gamma, emmenée par le prétentieux Bradley Dugratin, les tenants du titre. Mais pire encore : le jeune adolescent voit un jour débarquer son père dans le même cours que lui, tout ceci pour parfaire son éducation…


✶✶/5

Ce second opus se laisse regarder tout autant que le premier. Max va à l’université avec la compétition des sports extrêmes en tête. Dingo travaillait dans une chaîne de montage de jouets avant d’être renvoyé et de devoir retourner étudier. Forcément, il se retrouve dans les mêmes cours que son fils. Je vous laisse imaginer la réaction de ce dernier. La relation père/fils est encore une fois le thème principal de ce Disney, avec les fraternités et l’université. Dingo est toujours aussi dingo et il se trouve une amoureuse. Sans oublier PJ et Pat Hibulaire qui sont toujours de la partie.

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